- Un courant alternatif est un courant périodique de valeur moyenne nulle.
- Sa fréquence se calcule en effectuant le rapport 1/ T
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Chaque expression de grandeurs sinusoïdale peut-être
représentée sous la forme suivante :
- u1 = Û1 . sin (w.t + j1 )
- u2 = Û2. sin (w.t + j2 )
-
u3 = Û1 . sin (w.t
+ j1
)
Chacune des expressions peut-être ramenées à un vecteur représentatif
ayant une norme et un déphasage j.
Le déphasage est calculé par rapport à l’axe des origines.
Ainsi pour u1 : II Û1 II avec j1.
Ainsi pour u2 : II Û2 II avec j2
Ainsi pour u3 : II Û3 II avec j3. etc.…
Remarque : la
mesure des angles s’effectue selon le sens trigonométrique et relativement
par rapport soit à l’axe des origines, soit par rapport à un vecteur pris
pour référence.
Exemples :
a ) Déphasage
nul.
b ) Courants en opposition
c)
Courant en quadrature
Se dit
lorsque les déphasages égalent + ou - pi/2
Il
est possible de trouver le résultat d’une somme ou d’une différence de
toutes expressions sinusoïdales de même fréquence en effectuant la somme ou
la différence vectorielle des vecteurs caractéristiques des expressions.
-
Donc, s’il faut
effectuer :
Û1 . sin (w.t + j1 ) + Û2. sin (w.t
+ j2
)
Le résultat sera de la forme
uT = ÛT . sin (w.t
+ jX ) tel que :
ÛT = Û1 + Û2
Remarques :
- Il est possible d’utiliser la règle pour plus de deux vecteurs de Fresnel.
- Dans les cas où, les déphasages sont égaux à 0, + pi / 2 ou - pi /2,
le théorème de Pythagore peut
s’appliquer.
Elle est basée sur une exploitation des principes vectoriels associé à l’usage de l’algèbre. Ce dernier s’utilise pour calculer les positions des coordonnées des points essentiels des vecteurs utilisés.
( origine et fin)
Les complexes utilisent une représentation axiale spéciale :
- L’axe des ordonnées est nommé, axe des imaginaires et est associé
à une variable « j ».
- L’axe des abscisses est nommé : axe des réels.
- Tout nombre complexe est déclaré par une lettre associée à une barre
en dessous : C.
- Un nombre complexe s’écrit sous la forme a + j . b
- Toutes rotation d’un angle de pi /2 entraîne une multiplication du
nombre complexe par « j ».
- Le produit j. j = j2 = - 1
- Tout nombre complexe est caractérisé par son module ( r ) et son
argument ( q ).
- Le module correspond à l’intensité du vecteur traité.
- L’argument correspond à l’angle constaté par rapport à l’axe des réels.
Exemple :
-
Nombre complexe conjugué : si c =a + jb, le conjugué
de c = a - jb
-
Expression canonique :
si c =a + jb, c peut s’écrire c = r
q
ou r.e
jq
- Règles des produits de nombres complexes : C1 . C2 = tel que :
r
= r
1 . r2
et q
= q1
+ q2
- Règles des rapports de nombres complexes : C1 / C2 = tel que :
r = r 1 / r2 et q = q1 - q2
_ Résistor
R = R U et I en phase. |
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Inductance
ZL = j. L . w |
Remarque :
Toutes les applications possibles en électricité des nombres complexes sont régies par les lois générales. Dans le cas de l’utilisation des impédances complexes d’éléments, on parlera et l’on traitera en premier de manière générale, par les impédances ZR, ZC, ZL. Au besoin un schéma des impédances sera fait. En dernier, une identification des différentes impédances sera faite.